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Cabinet dentaire du Docteur Eric Blanchet
10, Quai St Antoine
69002 LYON
Tel. : 04 78 42 76 30
mail : contact@cabinetblanchet.fr
Horaires :
Lundi - Jeudi : 7h30 à 19h30
Mardi - Vendredi : 7h30 à 17h00
> VOIR LE PLAN

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EQUIPE SOIGNANTE :
DR ERIC BLANCHET
DR BLANDINE BARBIER
LES ASSISTANTES

PLATEAU TECHNIQUE :
L'ACCUEIL
LA SALLE D'ATTENTE
LA SALLE DE SOINS 1
LA SALLE DE SOINS 2
SALLE D'OPÉRATION
RADIOLOGIE
LA STÉRILISATION

INFORMATIONS PATIENTS :
IMAGERIE MÉDICALE
PRÉVENTION - HYGIÈNE - PARODONTOLOGIE - BLANCHIMENT
IMPLANTS :
> Prise en charge chronologique
> Edentement Unitaire
> Edentement Partiel
> Edentement Total
> Implantlogie assistée par ordinateur
> Pose immédiate des dents
> Manque d’os : Sinus-lift
> Manque d’os : Implant zygomatique
> Manque d’os : Régénération osseuse et Greffe d’apposition
> Analgésie, confort et gestion de la douleur
> Conseils cliniques PRÉ-opératoires
> Conseils cliniques POST-opératoires
> Conseils cliniques alimentaires
> Questions / Réponses

QUESTIONNAIRE MEDICAL
Remplir votre questionnaire médical en ligne

LIENS :
> Conseil de l'ordre
> Charte ordinale de "qualité" applicable aux sites web des chirurgiens-dentistes

CONTACTS
10, Quai St Antoine
69002 LYON
Tel. : 04 78 42 76 30
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Lundi - Jeudi : 7h30 à 19h30
Mardi - Vendredi : 7h30 à 17h00
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EQUIPE SOIGNANTE

Dr Eric Blanchet :

• Docteur en Chirurgie Dentaire
• Ancien assistant hospitalo-Universitaire
• Maîtrise de Biologie Humaine
• D.E.A. de modélisation en médecine et biologie
• Certificat d’études supérieures en prothèse scellée
• D.U. de chirurgie et prothèse implantaires
• Chargé d’enseignement à la faculté

Diplômé de l’université de Lyon en 1993.

Après la validation de 3 certificats en sciences biologiques et médicales, obtention d’ une maîtrise en 1994.

Troisième cycle à la faculté de médecine de Grenoble en modélisation
des systèmes biologiques en 1997 et se passionne pour la robotique médicale.

Poursuite du cursus hospitalo-universitaire et assistant en prothèse conjointe à la faculté de Lyon jusqu’en 2000.

Associé dans le cabinet des Docteurs Jenny et Lucchini.

Se spécialise en chirurgie et prothèses implantaires en1999.
Obtention du diplôme Universitaire de Chirurgie et de Prothèses Implantaires en 2003.

Ecrit et participe à des publications nationales et internationales.

Exerce en pratique privée.

Chargé d’enseignement à la faculté en implantologie dans le cadre de l’attestation universitaire de Lyon depuis 2003, et dans le diplôme interuniversitaire d’implantologie orale de faculté de médecine Claude Bernard depuis 2008.

Vice président d’ISCADIS (International Society of ComputerAassisted Dental Surgery) et du CLERI (Collège lyonnais d’étude et de recherche en implantologie).

Membre de l’ EAO (European Association of Osseointegration).


Dr Blandine Barbier

• Docteur en Chirurgie Dentaire

Le Docteur Barbier prend en charge la PREVENTION, l’HYGIENE, l’ECLAIRCISSEMENT DENTAIRE et les TRAITEMENTS PARODONTAUX NON CHIRURGICAUX.


Les assistantes

Les assistantes sont chargées de l’accueil, de la prise de rendez-vous, de la stérilisation et de l’assistance opératoire.

Elles sont toutes titulaires du diplôme d’assistante dentaire qualifiée.


PLATEAU TECHNIQUE

L'accueil
L'accueil



La salle d'attente
La salle d'attente



La salle de soins 1
La salle de soins 1


La salle de soins 2
La salle de soins 2


La salle d'opération
La salle d'opération

Radiologie
Radiologie

La stérilisation
La stérilisation



INFORMATIONS PATIENTS

Imagerie médicale

La révolution du numérique envahit tous les domaines de la médecine et en particulier celui de l'imagerie.

L'accès à des données jusqu'alors insoupçonnées améliore incontestablement le diagnostic, mais également les traitements médicaux et chirurgicaux.

L'évolution principale de ces dernières années en imagerie médicale appliquée à l'art dentaire est représentée par le tomographe volumique à faisceau conique ( Cone Beam Computerised Technnology) qui diminue sensiblement la dose absorbée par rapport à un scanner X et qui offre une très bonne qualité d’image.

Cet examen est souvent préconisé dans le bilan pré-implantaire.


Prévention hygiène, parodontologie, blanchiment

L’hygiène-La prévention
La plaque dentaire est constituée de débris alimentaires et de bactéries. C’est une substance molle blanchâtre qui se dépose de façon naturelle dans la cavité buccale et est éliminée par le brossage rigoureux des dents après chaque repas. En cas de brossage insuffisant, les bactéries se minéralisent, c’est-à-dire que la plaque dentaire durcit : en 2 à 3 semaines, elle se transforme en tartre, impossible à éliminer avec la brosse à dents.
Le tartre est responsable de la formation des caries mais également des infections et inflammations des gencives (gingivites) et des éléments entourant la dent (parodontites).

Adopter des mesures d’hygiène orale est fondamental mais ne suffit pas à éliminer le tartre. Pour cela, il faut avoir recours à des moyens professionnels :

• Le détartrage suivi du polissage
• L’aéropolissage
• Le surfaçage radiculaire

Le détartrage
Il vise à éliminer le tartre à l’aide d’ultra-sons : des inserts, en vibrant, vont détacher les dépôts de tartre de la surface de la dent.
Il peut être supra ou sous-gingival (au-dessus ou au-dessous de la gencive lorsque celle-ci est gonflée par une inflammation).
Après le détartrage, les dents sont polies avec une pâte qui leur redonne leur état de surface initial.

L’aéropolissage
Il est réalisé avec un jet sous pression de bicarbonate de sodium et son but est d’éliminer les colorations dentaires dues notamment à la consommation de café, thé ou tabac. Il permet également de terminer le détartrage en enlevant les dépôts de plaque dentaire inaccessibles aux ultra-sons. Il est réalisé avant le polissage.

Le surfaçage radiculaire

Il vise à éliminer la plaque dentaire et le tartre sous-gingival déposé sur les racines des dents : on utilise les ultra-sons et des instruments manuels spécifiques pour nettoyer les surfaces des racines. Il est réalisé sous analgésie locale.

Cas spécifiques des implants dentaires :
La plaque dentaire et le tartre se déposent également sur les restaurations implantaires. Il est donc très important d’adopter un contrôle de plaque rigoureux et une parfaite hygiène pour éviter une inflammation des tissus mous (mucosite) et une perte osseuse sous jacente (péri-implantite).
Une maintenance professionnelle deux fois par année est conseillée.


Le « blanchiment dentaire » ou éclaircissement
De nombreux processus d’éclaircissement existent soit au fauteuil soit en ambulatoire (port de gouttières).
La méthode ZOOM utilise les ultra-violets A (non nocifs pour l’organisme ni pour la structure de l’émail).
Le traitement dure environ 2 heures. Il permet d’éclaircir de façon notable la teinte des dents naturelles (les couronnes ou bridges sur dents naturelles ou sur implants ne peuvent pas être éclaircies).
Un entretien est nécessaire tous les 6 mois par le port de gouttières personnalisées une heure et demie par jour pendant 3 jours.
Il existe quelques contre-indications (femmes enceintes ou allaitant, prise de médicaments photosensibles, patients atteints de mélanomes).


La parodontologie
Les soins de parodontologie s’articulent autour de 2 champs d’action :

• Diagnostic et traitement de la maladie parodontale

La maladie parodontale concerne la gencive et les tissus autour de la dent. Elle touche de très nombreuses personnes et est responsable à terme de la perte des dents.
C’est une maladie bactérienne, la plupart du temps indolore, qui se manifeste sous plusieurs formes cliniques. La plus courante est la gingivite ou inflammation de la gencive qui est réversible. Lorsque la maladie progresse à l’os sous jacent, on parle de parodontite. Les conséquences sont diverses en fonction de l’atteinte et peuvent aller jusqu’à la perte de l’organe dentaire.
Les traitements non-chirurgicaux et chirurgicaux existent pour tenter de stopper la maladie parodontale.

• La chirurgie plastique parodontale

Le complexe muco-gingival joue un rôle capital dans la protection du parodonte profond et donc de la dent ou de l’implant. Des techniques de correction des récessions gingivales ou des aménagements tissulaires péri-dentaires ou péri-implantaires sont parfois nécessaires.


Les implants
L’implantologie est une discipline chirurgicale sûre et fiable, qui connaît un essor croissant depuis une vingtaine d’années. De très nombreuses publications scientifiques attestent du pronostic à long terme de cette technique. Cependant, elle doit être mise en œuvre par des praticiens formés autour d’un plateau technique adapté. Elle doit être considérée comme toute autre intervention chirurgicale, et il existe un certain nombre de contre-indications, de risques, de complications et d’échecs.
Un implant est une vis en titane qui joue le rôle d’une racine artificielle.
Il peut être utilisé comme ancrage pour restaurer une dent unitaire ou être associé à d’autres implants pour remplacer plusieurs ou toutes les dents d’une arcade.

Prise en charge chronologique
Premier Rendez-vous
Le but de cette première consultation est de recueillir l’ensemble des informations nécessaires à l’établissement du bilan pré-implantaire.

Il comprend :
• un historique médical
• un examen médical (questionnaire et bilans complémentaires si nécessaire)
• un examen buccal
• un bilan radiographique (type panoramique suivi si nécessaire d'un examen
tridimensionnel type (scanner ou cone beam)

A l’issue de la consultation, la faisabilité implantaire est connue et une première approche du plan de traitement peut se profiler.
Une information générale est dispensée sur les différentes options de traitements et leur coût approximatif.

Second Rendez-vous
Les informations recueillies puis analysées permettent d’établir la plupart du temps un plan de traitement. Parfois, des examens complémentaires sont nécessaires et retardent la proposition thérapeutique.
Un document appelé « consentement éclairé » ainsi qu’un devis vous sont proposés à l’issue de ces deux consultations.
A la fin du second rendez-vous, vous êtes capable de prendre une décision.

Après réception de votre accord par écrit, comprenant devis et consentement éclairé signés, une chronologie de traitement vous est établie.


Edentement unitaire
Lorsqu’une dent a été extraite, qu’elle est non conservable ou qu’elle n’existait pas, un implant peut la restaurer avantageusement.

Les autres alternatives sont un bridge, un appareil amovible, une autotransplantation, un traitement orthodontique ou l’abstention thérapeutique.

Le principal avantage de l’implant par rapport au bridge (solution fixe la plus couramment utilisée) reste l’économie tissulaire. Le bridge nécessite en effet une préparation des dents adjacentes.


Edentement partiel
Lorsque plusieurs dents contigües sont absentes, une solution implantaire peut être proposée.
Le nombre d’implants varie en fonction du nombre de dent à restaurer et du risque biomécanique.


Edentement total
Lorsque toutes les dents d’un maxillaire sont absentes, aucune solution fixe sur dents naturelles n’est alors possible. La perte des dents est souvent vécue comme un véritable traumatisme et un handicap physique et psychique.

Pour remplacer les dents, une prothèse totale mobile peut être proposée.

Cependant une « troisième dentition » à l’aide d’implants s’avère souvent nécessaire pour retrouver un confort de mastication et un bien être.

Deux propositions de traitement sont possibles :
• une stabilisation de la prothèse totale à l’aide de 2, 3 implants ou plus
• un bridge fixe sur implants (à partir de 4 implants)


Implantologie assistée par ordinateur
Les progrès conjoints de l’imagerie médicale et des logiciels de planification dédiés contribuent à améliorer le diagnostic et le traitement implantaire.

La planification chirurgicale a pour but d’objectiver et de simuler avec précision la faisabilité implantaire en tenant compte du volume osseux et des obstacles anatomiques du patient. Il est possible de connaître le nombre, le diamètre, la longueur, la forme, la position idéale (axe et émergence) de chaque implant dans le respect du projet prothétique.

Après cette phase de raisonnement, fruit d’un compromis prothétique et chirurgical, vient la décision de l’acte chirurgical. Le praticien, fort de cette simulation, peut réaliser l’intervention ou, s’il le souhaite, opter pour une chirurgie guidée assistée par ordinateur. Dans ce cas, le geste opératoire peut être précontraint par un système de guidage (guide chirurgical).

Le but principal recherché est un gain de précision dans le placement des implants et donc une meilleure prédictibilité dans le résultat final. Les conséquences sont la possibilité d'une chirurgie moins invasive (plus douce) et la conception d’une prothèse réalisée avant l’acte chirurgical et posée dès la fin de ce dernier.


Pose immédiate des dents
Pose immédiate des dents ou « des dents dans la journée » :
L’évolution des techniques et des matériaux autorise aujourd’hui le raccourcissement du protocole initial, et permet de remplacer une dent par un implant dans la même séance si les conditions sont favorables.

Pour les personnes portant des « dentiers » (prothèse totale mobile) ou ayant des dents à extraire, il est également possible de mettre en place des implants et un bridge fixe le même jour sous certaines conditions.

Ce concept permet d’accéder à un confort plus rapidement avec en contrepartie l’obligation de mastiquer des aliments mous pendant la période de cicatrisation des implants.
Il est également possible de coupler cette solution avec une chirurgie asssistée par ordinateur.


Manque d'os : Sinus-lift
Cette technique est proposée chaque fois que le volume osseux est insuffisant dans les régions prémolaires et molaires maxillaires. Elle consiste à combler une petite partie du sinus à l’aide d’un matériau de comblement pour permettre la mise en place des implants.


Manque d'os : Implant zygomatique
C’est une solution thérapeutique intéressant principalement les édentés complets maxillaires avec une forte résorption.


Manque d'os : Régénération osseuse et greffe d’apposition
Lorsqu’ un secteur édenté est ancien ou qu’un processus infectieux aboutit à une perte osseuse importante, la probabilité de restaurer dans de bonnes conditions cette zone à l’aide d’implants diminue. Dans ces situations délicates, il est nécessaire d’augmenter le volume osseux à l’aide d’une greffe ou d’une régénération osseuse. Différents matériaux osseux peuvent alors être utilisés.

L’os autogène (du patient) est prélevé dans la cavité buccale pour des pertes de substance petites à modérées, et peut être prélevé sur la hanche ou le calvaria pour des pertes de substance plus importantes.

Le substitut osseux peut remplacer l’os autogène et il est d’origine soit allogène, soit xénogène ou bien alloplastique.

Allogène signifie d’origine humaine avec un donneur différent du receveur.
Ces os « de banque » sont contrôlés et subissent différents traitements (bactéricides, virucides et fongicides) pour les rendre propre à une utilisation chirurgicale.

Xénogène signifie originaire d’une espèce différente (bœuf, cheval, porc…), et alloplastique d’origine synthétique.
Tous ces matériaux n’ont pas les mêmes propriétés et ne sont pas tous équivalents en terme de résultat et de recul clinique.


Analgésie, confort et gestion de la douleur
La plupart des interventions en chirurgie dentaire ne nécessite pas de prise en charge sous anesthésie générale, réservée aux structures agrées comme les hôpitaux ou certaines cliniques.

La plupart des interventions sont réalisées sous analgésie locale.

Une prise en charge spécifique en fonction de chaque patient(e) est mise en place et une prémédication systématique accompagne un geste chirurgical.

Dans certaines situations particulières, nous travaillons en relation avec des médecins anesthésistes qui réalisent en complément de l’analgésie locale une sédation pour obtenir un confort optimal et permettre une qualité de travail.


Questions /Réponses
Aurai-je mes nouvelles dents après la mise en place des implants ?
Il convient d’observer classiquement une période de cicatrisation de l’os autour des implants, variable entre 4 mois et 6 mois, appelée période d’ostéointégration. Après cette période, une restauration prothétique peut être mise en place.
Les délais de cicarisation peuvent être réduit et même supprimés sous certaines conditions rendant la mise en place d’une prothèse précoce voire immédiate.

La prise de médicamentent est-elle une contre-indication ?
Oui, dans certaines pathologies, la prise de médicament ne peut être arrêtée et peut interdire la mise en place d’implant.

L’âge est il un handicap ?
Non. Il n’existe pas de limite d’âge. Lorsque l’état de santé est bon et qu’aucune contre-indication d’ordre médical n’interdit une intervention, l’âge ne semble pas un facteur déterminant.

Existe-il plusieurs sortes d’implants ?
Oui, il existe de très nombreuses sortes d’implants et des marques différentes.
Leur point commun concerne le matériau utilisé le titane (dans la majorité des cas).

Existe-il des différences entre les implants ?
Oui. La longueur, le diamètre, la forme, l’état de surface, le dessin de l’implant et la connexion prothétique, constituent des paramètres pouvant influencer le comportement de l’implant dans l’os.

Existe-il des rejets ?
Non, on ne peut pas parler de rejet pour les implants, car il ne s’agit pas d’une greffe. Le matériau utilisé est du titane ou un alliage de titane, qui a la particularité d’être biocompatible.

Existe-il des échecs ?
Oui. Les échecs sont rares mais sont observés en moyenne entre 5 à 10% des cas à 10 ans selon les études.

Le succès est-il garantit ?

Non. Il n’existe pas 100% de réussite, et le praticien ne peut donc pas garantir le succès.

Que se passe-t-il en cas d’échec ?

Le plus souvent et chaque fois que cela est possible un autre implant est mis en place sans frais supplémentaire pour le patient.

Combien de temps dure un implant ?
Il est difficile de répondre tant les conditions diffèrent d’un patient à l’autre. D’une manière générale, une durée minimale de 10 ans est fréquemment avancée, mais d’après le recul clinique observé dans notre cabinet (24 ans) la pérennité d’un traitement implantaire est beaucoup plus importante. Cela est confirmé par les équipes suédoises qui ont débutées les implants bien avant, dans les année 65-70, et qui ont plus de 40 ans de recul. L’hygiène buccale rigoureuse et les visites de contrôle au moins une fois par année semblent être des facteurs déterminants.

Existe-il des complications tardives ?
Oui, les complications les plus fréquentes concernent la partie prothétique et sont souvent précédés de signes avant-coureurs (dent qui bouge). La surcharge et le manque d’entretien sont responsables des principales complications qui peuvent aller du simple dévissage à la perte de l’implant en passant par la fracture d’éléments cosmétiques.

Qu’est qu’un consentement éclairé ?
C’est un document contractuel du dossier médical qui informe d’une manière générale le patient. Il doit être signé avant l’intervention. Ce document ne constitue pas une décharge car il ne dégage pas la responsabilité du praticien mais est destiné à prouver l’information éclairée dispensée.

Combien de temps dure une intervention ?
Une intervention dure de 30 min à 3 h suivant la complexité. Dans tous les cas, une période de repos au cabinet après l’intervention est observée. Il faut donc prévoir une matinée ou une après-midi.

Vais-je avoir mal ?
Pendant l’intervention, une analgésie locale permet de ne pas avoir mal. Après l’intervention, des médicaments anti-douleur sont prescrits. La plupart du temps les suites opératoires ne sont pas douloureuses pour ce type d’intervention.



QUESTIONNAIRE MÉDICAL

Le questionnaire médical comporte 6 pages. La première page pour nous communiquer vos informations de contact, puis des questions concernant votre état de santé. A la fin du questionnaire vous recevrez un mail recapitulant les informations que vous nous avez communiqué. L'ensemble des données de ce questionnaire sont confidentielles, elles ne seront communiquée à aucun organisme, mais uniquement utilisées dans le cadre de vos soins pour adapter au mieux votre traitement.

MENTIONS LÉGALES :
Ce cabinet dentaire dispose d’un système informatique destiné à faciliter la gestion des dossiers des patients et à assurer la facturation des actes et la télétransmission des feuilles de soins aux caisses de sécurité sociale.
Les informations recueillies lors de votre consultation feront l’objet, sauf opposition justifiée de votre part, d’un enregistrement informatique réservé à l’usage de ce cabinet. Vous pouvez avoir accès à votre dossier en vous adressant à votre chirurgien-dentiste*.
*Loi n°78-17 du 6 janvier 1978 modifiée relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés"




LIENS

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